Hotel

je continué mon angloutisement aillient fini les nouille je plonga sur le poulé grilié et puis sur le riz me servent a mon aisse me doutemps qu'il ne mangerais pas de sel

" tu veux pas de viande??"

lui demandége en fait on pouvais dire que je mangé beaucoup mais c'etais faux il etais arrivé des soir ou je n'avait us drois qu'as des galette
ses a dire un peux de farine de levin et de beure et de sel et des oeuf on en fessait pour tous le camps sa remplasser le pain trop chaire en plus les galette sa se conserve assez bein
sa n'avait rein de vraiment sucré .. mais moi j'aimé beaucoup ... enfin pas quand on mangé que sa durent trois semain et qu'on etais en plus de sa rasioné
non je profité des qu'il avait un bon repas et il falait pas espairé que je laisse quelque chose partire a la poubelle en plus la il avait aussi la par de baku
le garcon qui viendré se soir ....

pour venire ici rejoirndre mon frére j'avait du faire pas mal de truc pour trouvé l'argent les boulot les comba et autre avait etais enchainé a toute vitesse
et j'avait gagnié pas mal d'argent mais je m'etais privé jusque la et maintenent je pouvais mangé vivre je me moqué du fric demain j'en trouverais si j'avait bessoin ma priorité etais mon frére et jel'avait trouvé

" non je prendré du coca"

oui ma boison prefairé je pouvais tenire une semain sans mangé rein quand buvent du coca mais ses claire que je devenais un scelette sur patte
enfin facon j'etais pas tres gros
fini mon repat il resté juste le sucre et un peux de tous je possa la main sur mon ventre

" j 'ai trop bien mangé"

je soupira de béatitude mon erection partie sous la faim et l'ocupation je regarda mon frére sourient ...

" vas faloire depenser sa "

Il mangeais a sa faim comme on disais, ca faisais plaisir a voir. Bien sur et il l'avais compris, le salé ne m'atirais pas vraiment. Mine de rien j'avais déja manger plusieurs part de ce gateau a la fraise chantilly, il rivaliserais presque avec ceux de Watari...
Bon le café ne l'interessais, pas, alors je lui servis du coca dans un verre fournis avec le repas, que je lui tendis délicatement.

-Voilà!

Limite si je ne me prenais pas pour le barman de la chambre! D'habitude, trois ou quatres personnes me servaient si Watari n'était pas la pour le faire, jamais je n'avais servit avant, ou quoi que ce soit. Je savais le faire, je n'était pas empoté non plus mais rarement.
Je posa ma tasse de café vide, et pris la deuxième. Au passage je me sreservit de ce gateau, décidément... J'y plongea dans ce café du sucre, que d'abord je m'étais tranquilement amusé a emplilé sur ma cuillère, et un a un je les fis plongé dans la marre noir.
Un vrai gamin!

Samael quand a lui avait fini son raide sur les pâtes et s'en prenais au poulet grillé, sans retenu.

-Leur gateau sont bon!

C'est tous ce que j'avais gouté a vrai dire, mais il me plaisait, la preuve je m'était reservis plusieur fois!

-Ca oui, sinon bientôt on pourra être inscrit au cour de sumo!

Aucun de nous deux n'était gros mais a manger a cette allure là, et a ne rien faire, ca pourrais arriver. Je l'imaginais mal gros, moi aussi dailleur, et puis je ne pourrais plus remetre mes vetements, bien qu'un peu viellot, je les aimais moi!
Tiens ca me faisait pensé, si jamais je trouve, il faut absolument que je fasse mon stock de sucettes, c'est Watari qui a les autres.

je glisa mon regard argenté sur lui il avait cassi mangé tous le gateaux moi qui me laisser une place pour le desser j 'en avait presque plus enfin c etais pour rire j'aurais pas pu avalé une pare de gateaux mais il me falait du sucre je bus le coca se qui cala mon envie de sucrerie avent de me lancé directe sur mon frére pour venire me glisé dans sont dos

" tu vas etre mon dessert alors "

lancége amusé mais le laissent finire sont repa a sont aisse je mangé vite je le savait et savait que c etais mauvé mais j'avait toujours mangé vite alors
je cola ma joue a sont epaule entourent sa taille de mais bras je ne bouga plus un long moment profitent de cette douce etrinte

" tu ma telment manqué"

et enfait je ne m'en rendé que plus conte depuis que je l'avait retrouvé et la separation maintenent en serais vein fois plus douloureuse que nous etion lié par le lien sacré de manouche et par l'amoure le vrais quand je l'avait revus j'avait su que mon coeur ne c etais pas trompé qu'il etais le seul que j'aimé

' je taime"

je possa un baisser dans sont coup alors que mais dois glisére sur sont ventre sous sont pull pour remonté jusqua sont coeur frolent la marque de mais doie

Il avait déja fini alors que ne n'entamais que ma 3eme part de gateau...Il arriva derrière moi, me serant contre lui el temps que je finisse de manger. J'esquissa un sourire a sa phrase, oui son dessert...j'avais un peu tout manger le gateau je devais dire...Un peu égoiste sur les bord, donc forcément il n'en restait plus qu'une petite part...

-Toi aussi tu m'as terriblement manqué...

Je devais l'avoué, la séparation sera dur, très dur, même pour moi...Peu être étais-je tombé dans les maille de l'amour. C'était si merveilleux, mais je conaissais la suite, et cherchais par tout les moyen de la changer. ma cuillère restait en suspent en l'aire, puis je poussa un soupir, je ne devais pas y penser.

-Je t'aime.

Je le lui avais répété, l'amour s'était emparé de moi, mais aussi de lui, nous étions lié maintenant. Je sentit ses mains sous mon pull puis arrivant sur mon coeur, sur cette marque nous unissant pour toujours. maintenant je savais que nous ne serions plus vraiment séparé...
Mon coeur battait, je finissais de manger ma part de gateau, puis but mon café, avant de reposer le tout sur le chariot, j'avais fini mon repas.

Le fait qu'il mais toucher cette marque me donna un frisson qui me parcourus le dos, il n'y avait pourtant pas de raison articulière a cel, mais bon.

-Voila j'ai fini...

Je serais son dessert c'est ca?

je souria a ces mot j aimé l'entendre me dire qu'il m'aimé moiqui en avait temps douté a chaque fois que je me voylié eloignié de mon frére a chaque fois que je m'aproché le touché presque et que je me rendes conte que suis ci ne me chercher pas lui
sa me rendé teriblement mal ... j avais vraiment fini par croire qu'il ne m aimé pas qu'il m avait oublié et jel savait que de nous deux ces lui qui m oubliré bien vite trouvent quelqu'un d'autre mais a jamais sont amoure serais enfermé dans le tatouage qui lui etais dessiné sur le coeur

" hummmmm"

se fut ma reponse a sont anonce quand il me dit avoir fini de mangé je glisa un peux plus mais lévre sur sa peaux remontent dans le creux de sont coup allent susuré a sont oreil des mot doue

" tu veux bein etre a moi ??"

question idiote peut etre mais je ne parlé pas sur le plan emositionélle mais corporel je ne voulais pas le forcé je ne tenais pas a lui faire peur non plus
mais on etais marié et je voulais avoir sont corp l'aimé mais peut etre ne seraise pas le moment en tous cas pour une etrinte compléte ses sur vus que je devrais aller chercher mon camarade bien tot mais je pourais au moin profité de ses caresser et le caresser le decouvrire l'aimé

Une fois fini, je le sentit, sentit ses levres dans mon cou, remontant jusqu'à mon oreille. je ferma les yeux, et il me susura des mots a l'oreile.
Sa question était un peu stupide, j'étais déja a lui et je le serais pour toujours. Alors je tourna la tête vers lui, et lui murmura a mon tour dans le creux de son oreille un "oui" en guise d'aceptation. J'étais pas très rassurer mais maintenant, c'était comme cela, je le désirais et lui surement plus que moi.

Je me tourna lors vers lui pour lui faire face, me collant a lui, passant mes mains sous son pull si chaud, et son tors si parfait.Ma main s'aretta sur son coeur lui aussi, il battait fort.
Puis je pris sa tête et lui échangea un baiser langoureux, plein d'amour, espérant lu ifaire passer ce que je resentais.
Dommage que nous n'ayons pas tellement de temps devant nous, cela pourrais être si bien.

Je le caressais, découvrant pour la énième fois son corps, ou du moin son tors, je ne conaissais pas encore bien, et encore moin voir pas du tout vers le bas.
Je regrettait nos années d'enfance, où rien n'est taboue, ou on n'a peur de rien, ou tout va bien, et où l'amour est innocent.

sont oui me fut murmuré et a peine dit qu'il etais ocupé a me caresser animent mais sance et me rendent ivre de joie si lui regrété le temps passer moi pas le passer etais fait pour etre passer mais pas le present je voulais l'aimé comme nul autre je voulais qu'il me caresse comme jamais on ne l'avait encore fait pour quoi parce que cette expérience ses avec lui que je voulais la partagé ho je connaisé pas mal de chose en téhorie et en pratique seul mais pas en couple et sur tous pas avec des main comme les siéne reinque les fraulement de celle ci me rendé complétement fous
mais dois se mire a chercher les faille de sont torse les moindre diférence du mein parce que je voulais l'identifié lui faire l'amoure l'aimé dans ses moindre detaile je l'aimé deja plus que nul autre chose sur terre
mais se soir il serais a moi rein qu'as moi mon premier et unique mon lien ...
car je mourais surment avent de pouvoir profité plus de cette amoure si il santété dans cette encaite et malgré moi malgré ses parole rasurente quelque chose me dissait qu'il aller partire s'enfuire de mais bras pour finire se qu'il avait commencé pour aprés revenire a moi
mais l'ennuis ses que je savait que si je ne lui donné pas ma vie lui ne revindré pas
et je prefairé mourire et le laisser vivre que moi resté et de toute facon quité se monde
mais lévre soudé au siéne tenais toute ses afirmation pour elle prefairent resté la a sunire qu'as encore une fois chercher a se batre pour le gardé mein
mais dois doucement glisére sur ses anche pour passer dans ssont dos
puis me separent de lui je fit glisé le pull sur sa peaux blanche pour avoir axée a mon dessire

" je serais doue ne crein rein "

oui car je senté sont dessire mais ses doute aussi a croire que je savait lire en lui
mais lévre partire sur ses epaule douce et tendre avec passion elle léché cette peaux oferte a mon dessire croisent et brulent qui ne pouvais qu"etre sasouvie par lui

Ses carresses m'enhivraient, je les sentait sur tout mon corps et son baiser m'absorbait toute mon attention. mes mains glissèrent et lui enlevèrent son pull pour le laisser libre arbitre sur sa peau. Il en avait fait de même, il était beaucoup lpus expérimenté que moi dans ce domaine, alors je me laissais faire, suivant ses gestes.
Mes caresses lui desendirent jusque dans le bas du dos, je voulais tout d emême être a la hauteur, et lui procuré autant de plaisir qu'il m'en procurerais.

-J'ai confiance en toi.

Je sentit ses lèvres dans mon cou, et et ferma doucement les yeux. Une de mes mains était arriver dans ses cheveux, l'autre le serrant tant que je pouvais dans mes bras, pour le rapprocher encor eplus de moi. J'avais dit "oui", oui a tout, oui a lui, et je voulasi que ce moment soit éternel.
Jamais je n'avais aimer quelqu'un de la sorte, et l'idée de penser qu'il était venu ici aussi pour mourir a maplace me faisait mal au coeur. S'il meure qu'est-ce que je deviendrais après cela?S'il n'est plu la pour prendre soin de moi, me rendre si heureux, qui el fera? Surement pas Watari, il ne faisait qu'obéir a mes ordres, comme un servant dans tout ce que je lui demandais.

Pourtant je sentais au fond de moi que ce rêve sera fini avant que l'on ai pu en profiter pleinement.

-Samael, je t'aime ne me quitte jamais...

Je murmurais a son oreille, j'avais si peur de ce moment. En ce moment j ele désirais si fortement encore jamais auparavant et m'en voulais de ne pas l'avoire retrouvé plus tôt.

je senté mon corp s'enflamé sous ses tendre caresse s'etais une chose enivrente que d'etre a lui et d'etre la pour lui ses murmure sa peaux tous m'en flamé dans le tourment de la passion et j'en perdé la raison dessidé je glisa le corp de mon frére sur le lit pour bein profité de lui mais lévre glisé deoucement sur sont torse blanc dans une longue progretion saline sur cette peaux qui etais si diférente et si semblable a la miéen

" je ne te quiterais plus jamais je suis dans ton coeur"

je possa mais lévre sur ce tatouage seul personne autorisé a l'embrasser je glisa doucement vert le boue de cher rosé qui orné sont divin torse mais lévre finre frolé cette cher sansible avent que doucement elle ne secarte pour laisser ma langue venire le taquiné j'aimé sentire ce boue rosé roulé sous ma langue j'aimé voir mon frére doucement fondre sous mais caresse ma main avait glisé le long du ventre pour defaire le bouton de sont patalon deja trop large pour lui
et mais dois une fois se barage defait ne tardére pas a se glisé doucement et delicatement etre le tisue et la peaux pour aller cajolé directement la source de sont plaisire alors que mais lévre travesére le torse pour aller socupé du jumeaux de cher rose

Je le sentait contre mon corps, ses lèvres...Tout mon corps était en émoi a ses caresses et je ne pouvais rien y faire.

Doucement il me poussa sur le lit, venant sur moi, et descendant de ses lèvres sur mon tors. Je fermais délicatement les yeux, me sentant aller a ses caresses, et a ses baiser. Il arriva sur mon coeur sur ce beau tatouage qu'il m'avais fait de ses propres mains et qui représentait tout. il jouais sur mon ros avec ses lèvres, c'était si agréable...

Je sentit sa main glisser le long de mon ventre pour déboutoner mon pantalon, et laisser sa main pénétrer délicatement dans celui-ci.
Je l'entoura de mes bras autour de ses épaules, me mordant la lèvres inférieur, et fermant les yeux, c'était si agréable....

je voulais faire debordé sont corp de plaisire quite a moublié moi je me moqué de mon plaisire en cette instemps moi qui avait totalement dessiré une etrinte je ne penser maintenent plus qu'as lui a lui donné tous pour qu'il goute a mon amoure le plus profond je senté mon corp prendre feux alors que ses lévre se serais sous mais atention mais doie c etais refermé peux a peux sur sa personne et avait commencé leur asention alors que mais baisser langoureus se fessait de plus en plus present sur sa peaux blanche remontent quelire des lévre qu'il torturé sous le plaisire
je senté mon corp se colé a lui et ma main avait du mal a continué sont action mais pleine de bonne volonté elle poursuivé sa bessogne
qui etais en fait plus un plaissire que autre chose

" haaaaaaa ... je taime temps"

je me mordie la lévre plongent mais yeux sur sont visage imaculé de beauté en cette instemps divin que nous partation mon corp frapent de dessire le sein et le mien reclament sa chaleur
je ne savait plus qui j'etais etais je lui ou lui moi peux m'importé on se liré pour l'eternité dans une fol passion que nul ne pourais interompe du moin l'espairége

Je le sentais partout, m'abandonnais a son désire profond et au mien par la même occasion...Je sentais mon corps tout entier abandonné a cet homme, celui qui était mon frère ma famille, mon sang, mais que j'aimais tant...Ses mains, sa main, travaillant sur mon désire, me mordant les lèvres le plus possible.
Je sentit son corps sur le lien, ses lèvres sur les miennes et le je le pris dans mes bras, je n'avais jamais été aussi bien qu'en ce moment présent.

-Moi aussi...

Je lui pris la tête entre mes mains, l'embrassans passionellement puis me smains descendant délicatement sur son corps, le caressant longuement partout, esseyant a mon tour de lui faire vivre un plaisir.
Mes mains passèrent sur son ventre, si doux, et arrivèrent sur son pantalon, déboutonant doucemement les boutons de celui-ci afin de faire durée le plaisir, pour enfin y glisser doucement ma main a l'intérieur, doucement et sans brusquerie, comme si ce fut un espion entré dans une forteresse bien gardé.

je frisoné a chauque pas que fessait ses main me raprochent plus de lui de sont dessire alors que toujours ocupé a acomplire le sein je brulé d"envie de sentire mon corp nus contre le sein de respiré sont audeur de le caresser sans me présé car non je ne voulais sur tous pas me présé j'avait perdu temps de temps et la il falait prendre sont temps lui aprendre a m'aimé a aimé aussi ce qui se produisé entre nous on aller bien plus loin que tous les tabou je ne penser pas du tous que un jours une telle chose puise se produire j'en avait perdu le secret espoire que j'avait nourire toute ses année quand je l'avait vus dans sont ecole quand je l'avait vus heureus loin de moi quand j'avait comprie que j'avait etais le seul a chercher mais maintenent ses main ses baisser sont amoure efacé toute ses sombre penser je turé qui conque cherche a me l'enlevé
je ne pu retenire un gemisement quand ses dois autin se glisére abilement au creux de mon pantalon sur une partie de moin bien plus vive que le reste bien plus emprésé que moi de faire de lui mon unique souvrin

" haaaaaaa ..."

je me blotie plus contre lui la vois chaude et altente lui murmurent au creux de loreil des je t'aime alors que mais dois poursuivé leur douse action avec un peux plus d'emprésement depuis que les sein fessait pretion sur mon anatomie dressé fiérement comme une épée pres a tous fendre pour l'amoure de sont ament

Nos deux corps blottie asouvant chacun notre plaisir commun, désirant l'autre a chaque instant.
Mes doigt jouait avec son désire, comme les siens avec le mien, nous étions comme dans un mirror, nous satisfaisons a nous-même.
Au creux de mon oreille j'entendais des "je t'aime" que je lui rendait, et parfois, lui mordillant le lobe de l'oreille, me laissant aller comem jamais. Si j'avais su qu eje conaitrais un tel boheur, je me serai rué sur lui dès que j'an aurai eu l'occasion. Mon coeur battait fort et a l'emplacement du récent tatouage, je sentais une chaleur, si forte si intense me bruler la poitrine. resserant son autre main sur le dos de son frère.

Que penserais Watari en le voyant..pas du bien surement...
Je déposais délicatement des baisers sur sa peau sur ses lèvres et sur un peu tout ce que je pouvais, essayant de me faire plus désirant que jamais. Nos souffle se mêlaient, haletant se murmurant des "je t'aime" lors de ce moment si délicieux que pour rien au monde j'échangerais...

je ne penser a rein mais il etais sur que nous avion passer la limite de non retoure pour lui comme pour moi nous pechion par amoure mais l'amoure etais t'il vraiment un péché je n'en savait rein et en avait peux cure tous se que je voulais etais la sous moi ondulent sous mais atention me murmurent dans une vois sansuel et altente qu'il devait ignioré possédé jusque la des je taime qui n'en finisé pas se que j'aimé ses je t'aime ses caressa sa presence
plus que dessireux doucement je me decola de lui possent a nouveaux mais lévre sur les siéne a la douceur de la soie je ne pourais les quité qu'on marache de ce monde avec ses doue baisser
mais le dessire present en cette sinstent me présé d'avantage
je fini donc par me glisé le long de lui echapent a ses doie pour me defaire de se qui me derangé et qui me caché sa peaux de porcelain
le dernier obstacle a toute ma passion sont pantalon et sont calcon qui partire au loin me laissent voir se que j'avait caressé jusque la sans avoir pus le regardé
me mordent les lévre je glisa le long de ses jambe mais doie pour repartire sur se dessire pulsent dans une passion éfréné que je ne pourais jamais controlé

Il était sur moi, je sentait sa respiration, aussi haletante que la mienne, son coeur battre, aussi vite que le mien. Mon coeur battais pour lui, le sien pour moi, nous étions fait pour vivre ainsi, et je venais de le comprendre.

Jamais je ne trouverais mieu,jamais nous pourrions nous séparer, dorénavant, nous vivrons toujours ensemble, cela nous était impossible maintenant.
Et rien qu'une idée de ne plus être avec lui me fit frissoner, nous venions de nous retrouver, et étions fait pour nous aimer. Peu être étions nous en train de pecher, mais cela je m'en fichais complètement.

Le chapelet qu'il m'avais offert glissais sur ma peau, sur mon cou pour re retrouver sur le coté par l'effet d'apesenteur. Avec cela, Dieu nous gardait non?
Ses lèvres se décolèrent des miennes, puis i descendit le long de mon corps, se débarassant du reste de mes vetements, je le laissais faire.

je senté sont corp la doue sous moi je senté sa chaleur en émagnié pour moi il ni avait pas plus divin que lui sur terre et peux m'importé ou j'irais aprés ma mort car je garderais pour temple sont corp je me coula contre lui
je voulais sentire sa peaux mais mon propre pentalon men péché de sentire sa douceure ses pour quoi je me debarasa aussi du mien pour que nos peaus soi les seux chose qui se réchauve je sentie la siéne caressé la miéne a chaque mouvement que je fessait sa m'enivré j'avait comme l'impretion de me fondre en lui mon sex rencontra le sien et je fremis sous se contacte gemisent
sa me semblé si iréel et a la fois si réel cetais comme ci on me donné le ciel

" je suis a toi "

murmurége glisent enfin mais lévre pour selé a nouveaux se pacte ses parole temps dessiré ho se que je pouvais aimé le sentire la présé contre mon corp
mais dois se glisére sur sa peaux pour aprendre a la connaitre alors que dans ma poche de jean posser sur le sol le telephone se mis a vibré resonent légérement sur la moquéte de la chambre
etoufé par le jean je me forcé a l'ignioré qui pourais m'empéché de continué a aimé selui qui pour moin etais tous
selui qui avait enté mais nuit de solitude je l'aimé plus que se puré de telephon
je tira le cousin sur le coté et l'evoylia sur le jean comme pour le faire taire

Il se débarassa de son surplus de vetement, et comme moi, ne possèdais que sa peau en vetements tout deux nu l'un contre l'autre, étant en contact permanent. Sa peau et la miene se melais doucement nso deux sex se rencontrant tou deux pour la première fois, me faisant parcourire un frisson a travers tout mon corps. Je le sentais frémsir au dessu de moi, et me murmurer des douces paroles, cette apratenance mutuelle qui nous avions.

Je passais mes main sur son dos, dans ses cheveux, aucun centimètre carré de son corps ne m'échapait et...
Un bruit de vibrement se fit entendre dans la pièce, je tournais délicatement la tête, un peu surpris avant de constater que c'était le portable de mon frère qui vibrai par terre. Il lanca le coussin comme pour l'arreter et je rigolais doucement.
De mes mains, je pris son visage que j'approchais du miens tout près pour lui murmurer en souriant.

-C'est peu être important non?

Je pensais notament a son amis, peu être ilavait eu des complications, ou qu'il l'attendais déja, tout le temps m'avais échapé, mais si c'était le cas, il était passer bien trop vite.
Je l'embrassa sur ses douces lèvres, aussi parfaite qu'elles pouvaient être et aussi désirable que je le pouvais. On se serais cru dans un rituel avant le vibrage de ce petit dérengeur de portable.

je ne voulais pas repondre non pas question d'abrendoné la mon frére je voulais tous de lui et il sofré a moi que pouvais je demandé de plus mais comme toujours le destin nous joué sont mauvé tours mais je ne demordré pas au diable le destin au diable la vielle bic qui ma vais cassi fait regrété ma venue avec sont coup de fil plus tot
non non et non personne ne me diré que mon destin et ecrie et que je ne peux aimé mon frére au risque de brulé en enfer
vive l'enfer si ses comme ca moi je suis prés a y aller mais doie couré sur sa peaux alors qu'il me disé de repondre

" non sa resonera si ses importent"

et je ne repondré pas encore une fois et oui jamais deux sans trois comme on dit et si vraiment la personne voulais me joindre il recomposerais le numero jusqua se que je decroche de toute facon je fessait comme ca avec tous le monde alors pour quoi changé

mais lévre repartire sur sa peaux glisent sur celle ci il falait lui faire oublié se gsm et moi avec si non il aller etre envoylié dans un mure ...
sur ses pas lui qui m'empécherais d'aimé ou de caressé selui que j'avait atendue toute ses année non non et non
mais lévre aprochére de sont dessire brulent je senté ses vibration sa le touché de mais lévre mais je vein lui posser un doue baisser sur la peaux tendue cherchent a gouté se corp parfait qui m'aité ofert et atendé ma bénédiction
pour sasouvire de toute pretion

Il n'avait pas l'air décider a répondre a son portable, pourtant peu être c'était vraiment grave... Bref, je n'allais pas me plaindre.J'étais plus du genre a me précicité dès que celui-ci faisait un mouvement, mais ce n'était pas son cas.
Il avait presque plus de coup de fil que moi, et encore les miens c'était pour parler a "L", pas amoi personellement, les gens a l'autre bout du fil, interpol et compagnie s'en fichais bein de savoir si j'était humain ou une simle machine créé.

Avec lui j'avais ce sentiment d'être humain d'être moi et plus une maudite lettre que tout le monde respecte et dont personne ne crois l'existance. C'était paradoxale d'ailleur, comment pouvait-on respecter quelqu'un qu'on ne croyais pas humain? les autres ont une droel facon de penser...

Mais Samael me sortit de mes pensées, je n'avais pas spécialement fait gaffe a ce qu'il faisait, il fallait dire, le portable avait un peu briser le moment d'intimité qui existait entre nous, ce moment si précieux pour nous deux, si sensuel.
Des frissons me parcourrait le corps entier, je sentait ses lèvres, là, sur mon désire brulent ardent je devais dire, et me mordit la lèvre, un peu surpris par le geste.

je me moqué de toute urgence pour moi la seul qui avait en se moment etais celle qui brulé au creux de nos rein
oui des mien et des sien et je pourais l'etaindre de mon soufle de mais baisser j'aller commencé une chose que je n'avait jamais fait et sa m'exité car je le fessait avec lui
parce que nul doute que sa n'aurais pas etais aussi plaisent avec un autre ma bouche s'entrouvire pour laisser passer ma langue qui glisa doucement de facon asser animal sur le mambre vibrent je pouvais sentire l'aflue de sang tapé souc la chaire
comme cherchent a m'appelé j'aimé cette sansation enivrente j'espairé vraiment que tous se passe bien et que se gsm ne resone plus lui qui semblé avoir retrouvé sont calme
ma langue repris sa bessogne sur le sex de mon frére goutemps cette peaux des plus lise des plus douce et des plus chaude
doucement maident d'une main je pris le mambre et le redraisa pour que ma langue puise faire connaisence avec le casque qui orné le dessu du mambre elle se glisa humide et chaude sur suis ci
j'ecouté toute reaction de mon frére de peur de mal faire méme si je semblé sur de moi je douté de mis prendre comme il fallait

mais sa seul l'avenire me le dirais enfin dessidé je glisa dans ma cavité bucal se qui me semblé imposent et imposible a maitre entiérement en bouche voila un nouveaux defie pour moi

Je le sentait là sa bouche sa langue, cette sentation chaude me lèchant a cet endroit si sensible, me mordant la lèvre autant que je le pouvais, je croyais que j'allais explosé.
Je le sentait jouer avec, le lécher, l'embrasser, persone ne m'avais fait ca auparavant, et jamais je n'avais connu un plaisir aussi intense que ce moment la précisément. L'heure avait du filé a une vitesse inimaginable et je devais repartir, mais...

-Samael...

j'haletais, je savais au fond de moi qu'il fallait cessé cela, que je devais partir, que je devais aller voir Rion mais ca m'étais impossible pour le moment.
Et au fond de moi j'avais peur qu'après cela il parte que ce type qu'il allais chercher s'en aille avec lui et qu'il me laisse, qu'il m'abandonne, et qu'il n'avais fait que m'utiliser. Et dans ce cas, je ne pourrais m'en vouloir qu'à moi même il m'avait prévenu...
J'essayais de me persuader du contraire qu'il ne me mentirais pas mais je le faisait bien, alors...

-Samael ar...

Quelque chose me serrais a la gorge, qu'avais-je fais? J eme disai pour al justice, mais ce que je faisais n'était pas digne de quelqu'un comme cela. Je devais en finir maintenant, et repartir.

je ne menté pas tous se que je voulais moi ces etre avec lui pour temps j'avait etais prevenus de se qui m'atendé mais je n'ecouté rein ni personne alors pour finire qu'es que sa pouvais changé je soufriré comme j'avait toujours soufére ma bouche formé un etaux sur sont mambre et plus il m'appelé moin je repondé prefairent de loin continué se que j'avait entrepris je voulais arrivé a le faire jourie a le sentire s'abendonné parce que je voulais qu'il garde se souvenire
je ne me douté pas des penser de mon frére et méme si je m'en etais douté rein n'aurais etais arrété mais dois continué de courire sur lui et mon corp de le satisfére comme je pouvé
atendent le moment propise de l'abendoné férment les yeux pour mieux resentire de lui tous se que je pouvais
je ne pouvais dessiré plus que cette etrinte je ne pouvais non plus espairé autre chose demain les chose changerais encore la vie la mort je l'avait trop cautoylié pour savoir que a jamais n'existé pas
eternité non plus

Pourquoi il ne faisait rien, pourquoi il en m'écoutais pas? Je ne pouvais pas le chasser, je ne pouvais pas le repousseret sans le vouloir je voulait qu'il vienne le serrer contre moi, j'avais peur de l'avenir, comme pris d'une crise d'angoisse, ca ne m'étais arrivé que si peu, juste après notre séparation mais jamais après.

-Ahh....

Ma main aggripa le drap a coté de moi, ce qu'il me faisais me mettait dans tout mes état, je transpirais; je haletais, je manquais de soufle, trop d'idées, trop de chose, trop de peur pour lui. Jamais je n'aurais du faire ca, mais je ne peu plus maintenant.
Je me releva d'un coup, l'arranchant a ses plaisirs et le pris subitement dans mes bras, j'avais une envie de pleurer et engoufra ma tête dans ses cheveux.

-Excuse moi...

Je lui avait murmuré a l'oreille, me retennant pour ne pas fondre en larme...ce n'était aps très virile et si je le faisait il allais se foutre de moi.J'essyais de reprendre ma réspiration et de me calmer dans ses bras, mon coeur battait a une vitesse folle, pourquoi il fallais que je me pose ce genre de questions, j'aurais du être plus fort.

je le sentie s'araché de moi seloignié du plaisire que je tenté de lui donné il m'agripa et me cola a lui empéchent mon corp de prousuivre il sescusé mais de quoi il etais loin d'etre prés peut etre avait 'il comprie qu'il ne m'aimé pas comme ca je le sera plus contre moi ferment les yeux pénée du ton qu'il emploilié blaisser encore une fois mais je ne laisser rein voir ni deviné

" chut ses rein .."

je caressa ses cheveux delicatement ne me fessant ni présent ni inquié je le rasuré ses tous je me recula doucement lui souria pour qu'il compréne que aucune coler ne m'animé contre lui

" ses rein je comprent"

non je ne comprenais pas je ne le pouvais pas simplement parce que pour moi se moment brisé avait etais le plus beaux de ma vie et on me lavait simplement enlevé sans explication plausibe a mais yeux mais j'avait temps de fois etais privé que je ne pouvais pas lui en vouloir
je continua a lui caresser les cheveux puis doucement la joue je vien lui posser un baisser sur le frond
et comme ci tous me montré que ces fini mon gsm se remis a vibré

" tu vois ... ses rein je vais repondre "

repossent un baisser je me saisie du gsm le coeur gros il etais sur le poind d'eclaté pour laisser mes larme de sang coulé

" oui ... "

je m'eloignia m'enferment dans la salle de bain pour calmé se corp douloureux par l'absence de chaleur d'amoure et autre ses chose qui me manqué depuis mon enfance